Janvier 2022 : meilleurs vœux à tous les amis de DUCOS

 

     Parlant de notre film, j'avais titré, sur la page précédente, « Le film du CENTENAIRE ». Seulement voilà ! Les organisateurs de ce centenaire n'en ont pas voulu.

     À en croire les nombreux témoignages reçus de la France entière (voir ci-après, et relire l'analyse de J.Petitjean) notre film avait tout à fait sa place... et il aurait constitué le volet populaire qui faisait tant défaut à notre colloque de spécialistes. Bref !

     Ne désespérons pas. Suite à mes vœux, j'ai reçu pas mal d'encouragements. C'est un peu tard, car jusqu'à présent, les décideurs locaux ont plutôt tenté, sans doute par jalousie, de faire interdire et le site et le film... Ils ont en tout cas, complètement occulté mon travail. Tout ceci n'est pas très glorieux. Nous allons tâcher de l'oublier.

     Merci de me dire ce que vous pensez de ce film maudit. Je publierai, dans cette page, les messages les plus significatifs.                                                                                                                                                      RD

 

Suite à la projection du 6 septembre 2021 aux Montreurs d'Images à Agen.

 

Bernard Philippe (Agen ?)

Encore un grand merci pour votre conférence suivie du film "la photo prend des couleurs" hier aux montreurs d'images à Agen. Concernant le film je l'ai trouvé très intéressant, mais un peu long. Il me semble qu'il serait possible de supprimer quelques redites. En fait, j'ai fortement apprécié toute la partie historique et les informations sur le personnage. De plus, ce film montre les côtés positifs de la ville d'Agen: son architecture et sa vie dans la gaieté. Finalement à mon avis un passage devrait tout simplement être supprimé, il s'agit de la rencontre avec la représentante de la mairie. Je comprends votre désappointement du peu d'intérêt porté par les Agenais sur cet illustre personnage qui pourrait permettre à sa ville de mieux rayonner en France et à l'étranger: les pruneaux c'est pas mal, mais l' invention de la photo couleur, c'est pas mal non plus!...

 

JC. Larroche (47 ?)

Après avoir enchainé votre conférence sur le cinéma et votre film sur Ducos du Hauron, j'ai pris le temps d'aller sur le site que vous nous avez indiqué. Ce travail est énorme, tout en étant d'une grande clarté, et tout à fait complémentaire de ce que nous avons vu. J'ai vraiment apprécié l'originalité du film, la qualité des images et du montage. Votre incarnation de Louis Ducos est émouvante et nous dit l'essentiel. Pour revenir à nos échanges et sur la séquence filmée aux Montreurs, je peux vous dire que personnellement ça ne me dérange pas. J'ai bien compris que c'était l'occasion de faire un point sur l'importance de l'œuvre de Ducos et de montrer qu'il n'était pas facile de faire passer le message.

Témoignages reçus début 2021

Dominique Lauzeral, Toulouse, journaliste (05 avril)

Bonjour René. J'ai regardé ton film avec mon fils et mon petit fils étudiant. Première surprise, Romain 19 ans qui était là pour faire plaisir à sa grand mère... est passionné par la description des premiers travaux de Ducos : "je connais tout ça,  on l'a étudié au lycée ".
Le film se déroule et là,  chapeau.  Bravo ! L'histoire est très très intéressante, bien replacée dans son époque et la forme est vraiment  remarquable, d'une très grande qualité technique, esthétique, artistique même. Les cadrages sont très réussis,  les prises de vue superbes. 
On se régale d'autant que le personnage de Ducos du Hauron est interprété par un excellent acteur!!!  Le ton comme le jeu sont parfaitement justes.  
Que dire de plus? Sinon que nous avons passé un super moment pendant lequel, en plus, nous avons découvert le parcours d'un génie. Un vrai travail de professionnel.

Jean-Marc Grenier, Montreuil (93)  (20 février)

... / pour ce qui est du film, bravo ! Vous avez choisi d'en faire une fiction et de l'ancrer localement. C'est mieux qu'un documentaire, c'est audacieux mais très réussi. Vous donnez une belle image de votre ville d'Agen et ça ne nuit pas à la portée de votre propos.

Vous me dites avoir réduit la durée du film dans la version à projeter. Pour ma part, la séquence de la conférence me convient tout à fait. Quant aux allusions qu'on vous a reprochées, je ne comprend pas.

Courage et longue vie à votre film.

 

Marco Barnig, Luxembourg (reçu le 28 janvier)

J'ai reçu aujourd'hui votre film LDH et je viens de le visualiser. Mes félicitations.
Je pense que de nombreux réalisateurs de films historiques à la télévision devraient prendre votre film pour exemple : comment créer un bon film documentaire pédagogique.
Les vues sont bien cadrées et illuminées, les personnages sont authentiques et de bons acteurs. J'ai apprécié particulièrement les scènes au grenier, les recherches d'Elsa sur Internet et les travaux d'agrandissement et de développement dans le laboratoire. Votre interprétation de LDH est géniale.
Je trouve la scène d'introduction avec l'animatrice CEDP un peu longue. A la fin du film il me manque une scène avec la présentation de l'exposé d'Elsa sur la trichromie à l'école. J'aurais aimé voir les réactions des étudiants.

Globalement le film est toutefois un vrai chef-d'œuvre.
Merci M. Barnig... c'est trop d'éloges.

Suite à l'avant-première de Boé, 47, (extraits du long message d'un collectif). Adressé à M. le Réalisateur.

.../... Très belle réalisation, bien construit, avec beaucoup d’idées dont celle de vous voir apparaître sous les traits de notre vedette, Ducos du Hauron ! Dont je ne puis que vous féliciter pour l’interprétation du personnage, bluffant !Vos amis, comédiens amateurs dites-vous, méritent également nos bons points, car il ne doit pas être évident de dire un texte devant la caméra, tout en restant crédibles, ils sont parfaits.

 

Même succincts, nous suivons bien la démarche et le déroulé des recherches de l’inventeur, nous pénétrons parfois dans son intimité, les lieux de ses différentes résidences, tout ce qu’il a apporté à nos connaissances d’aujourd’hui. Nous ne voyons pas le temps passer.

[ Suivent diverses considérations techniques et un regret : celui du passage du "rêve à la réalité" provoqué par la séquence de la réunion (tournée aux Montreurs d'images). Mais la réalité : il faut bien faire avec... et le film ne s'achève pas là-dessus.]

signé par "six amies faisant fi des contraintes du covid"

Anonyme ayant apprécié l'interview de Joël Petitjean (offerte en bonus du DVD)

     Je n'ai rien à changer aux appréciations données à la séance de Boé. J'ai revu votre film grâce au blu-ray et je voulais rajouter que les informations apportées par le spécialiste dans le bonus sont du plus haut intérêt. Le parallèle entre ce que nous apprend le film et les hypothèses du chercheur nous prouve que les choses ne sont jamais aussi simples qu'on pourrait le croire.

     Ce bonus est tout à fait complémentaire. Merci pour ce travail.

Claude Lamarque, descendant de la famille DUCOS

Claude Lamarque, chef d'orchestre (et actuellement critique musical), photographié au festival de Salzbourg.
Claude Lamarque, chef d'orchestre (et actuellement critique musical), photographié au festival de Salzbourg.

      Nous avions déjà été en contact avec deux descendants de la famille Ducos : Jean-Louis Ducos du Hauron (retraité, vivant en Espagne) et son fils Cédric. Récemment, nous avons été contacté par Claude Lamarque (critique musical, résidant à Clichy). Il nous a dit toute l'émotion qu'il a eu à visionner notre film, puis nous a livré quelques renseignements afin de compléter l'arbre généalogique de la famille.

     Il nous parle de ses parents, Étiennette Ducos, fille de Gaston Ducos du Hauron (un des 4 enfants d'Alcide), une mère qui avait pour parrain Auguste Lumière, qui a épousé Alfred Lamarque avec lequel ils ont élevé huit enfants (dont Claude, notre correspondant).

     Claude qui se souvient parfaitement de ses deux tantes, Madeleine et Alice, lorsqu'elles étaient dans la maison de retraite de la fondation Galignani. Il dit qu'il les voyait tous les jours en se rendant au petit collège Saint-Croix à Neuilly. Sa mère lui racontait avoir vu, à Savigny-sur-Orge, Camille Saint-Saëns rendre visite à Louis Ducos et jouer des pièces musicales, à quatre mains, avec lui.

     Claude Lamarque nous livre bien d'autres détails, mais surtout, ce qu'il nous dit de notre film est particulièrement flatteur.

     C'est avec une grande émotion que j'ai regardé hier soir le fruit de votre magnifique création et je dois vous avouer que c'est les larmes aux yeux que j'ai terminé le visionnage. Quel merveilleux travail avez vous fait pour essayer que justice soit rendue à mon grand oncle. J'ai l'impression d'être un peu ridicule en vous disant simplement MERCI. C'est vraiment un choc car cela ne devait pas être évident de rester passionnant pendant deux heures. J'ai quelques précisions à vous donner sur la généalogie...           Claude Lamarque 

Témoignages divers (reçus courant 2020)

Josette Francazal, Monléon-Magnoac (65)

Bravo au réalisateur et aux acteurs pour ce film qui a demandé un travail de recherche considérable 

Il est très intéressant et instructif . Le scénario est agréablement conduit. Les passages "documentaires" étant entrecoupés de belles prises de vue (c'est un plaisir de visiter Agen et ses environs).  Inédites les séquences où  le réalisateur (D du H) sort de l'image en noir et blanc, émouvante la complicité entre le grand père et sa petite fille. Michel et Elsa jouent leur rôle à merveille, de vrais comédiens! Idem pour  René. Elsa par sa jeunesse apporte de la couleur....et...la musique de Camille Saint Saëns est magnifique.

Pendant le tournage vous avez dû vivre une belle histoire, documents anciens sous les yeux . J'espère que malgré la crise sanitaire vous pouvez présenter ce film, et continuer à vivre  aux côtés de Louis Ducos du Hauron qui maintenant  fait parti de vos ancêtres !

 

A très bientôt sur grand écran !

 

Un ami pyrénéiste de Michel Chambert

Oui, je viens de voir le film... Oh, merveille... Très, très bien... Toi, Michel, ainsi que Elsa et Gérard, vous avez tout l'air d'êtres acteurs professionnels... D'autre part, Marta et moi restons très émus de vous voir de l'autre cote de la télévision... Un grand merci!!!

 Alberto Martinez Embid de Zaragoza

Gilles (un correspondant de PVC47)

Salut. Il n’y a rien à redire c’est très bien joué, j’ai même reconnu certains acteurs, commentaires appropriés et histoire vraiment bien décrite, main de maître pour ce travail enrichissant nos connaissances, beau travail de l’auteur qui a dû s’investir sérieusement au regard du résultat obtenu, merci beaucoup à tous.

Jean-Pierre ... de Condom, Gers (quelques lignes tirées d'une longue analyse du film et de la présentation du DVD et adressées à une connaissance)

J’ai visionné avec plaisir et attention le docu-fiction de Monsieur Dreuil sur la biographie de Louis Ducos du Hauron. Photographe amateur, ayant débuté dans l’univers argentique, j’ai été surpris de méconnaître à ce point l’incroyable apport à la photographie de la couleur et à son art de cet Agenais. Un chercheur émérite et un personnage historique internationalement reconnu qui a mené ses brillants travaux à Agen... Je suis étonné qu’il soit si discret dans la ville et que rien ne m’ait guidé vers lui. Mais par un concours de circonstances, j’ai pu avoir entre les mains le DVD « La photo prend des couleurs ».

Je rejoins entièrement le témoignage de Joël Petitjean. Je voudrais juste ici formuler de manière très amicale quelques remarques contributives... (2 pages d'analyse technique) .  Loin de moi de formuler « des critiques », d’autant que je sais combien il est difficile de faire un film avec des moyens très éloignés des grands studios de cinéma ! Le travail de Monsieur Dreuil n’en est que plus remarquable.

Le fil conducteur est bien présent, à la fois pédagogique et chaleureux. On découvre agréablement le personnage et son importance de chercheur historique. La relation du grand-père avec sa petite-fille, et vice versa, les découvertes de la malle, l’apparition de Monsieur Ducos lui-même, dans la partie narrative finale, tout cela est bien vu.   J.P.

 

Laurence Fleury, journaliste pyrénéiste, cinéaste et conférencière

Bonjour René   ... /...  pour te dire tout le bien que je pense de ton nouveau film sur Ducos du Hauron, que Michel m’a gentiment envoyé. J’ai appris un tas de choses ! J’ignorais totalement l’existence de cet homme.
Et j’ai proposé au MAG de ... d’en faire un article, pour promouvoir ton oeuvre. Le rédacteur chef n’était pas contre… A voir donc.
Seul petit bémol à mon avis : la séquence à la mairie qui risque de t’attirer plus de foudres que de sympathie de la part des élus. Cela risque de te porter tort, et ça fige  ton film dans le temps, du coup. Ce qui est dommage.
Bon voilà. A part ça, c’est un peu long, j’aurais raccourci certaines séquences. Et on ne comprends pas toujours ce que raconte Michel, avec son accent... ça m’a gêné.
Sinon c’est un film très intéressant, qui rend toute sa place à un inventeur qui le mérite.

 

Collectif périgourdin 

 C’est en petit comité, famille et amis, qu’en ce dimanche de fête des pères, nous avons pris le temps, après acquisition d’un DVD, de visionner votre film, « Louis Ducos du Hauron » génial chercheur du 19° siècle...

Des jugements positifs et négatifs.

     Le négatif. A l’unanimité, nous avons trouvé quelques longueurs ( intervention du conférencier) Une séquence sans lien direct avec le sujet du film (fête de la musique) et surtout, pardonnez-nous ce point de vue qui est le notre, la longue séquence de la mairie, inutile.

     Le positif. L’idée géniale de montrer ( en noir et blanc ) et faire parler l’inventeur. Cette partie du film est surprenante, magique et magnifiquement interprétée par vous-même ( très bon n° d’acteur !). D’autant plus que la ressemblance est frappante ! Nous l’avons dit, idée de génie ! Très bonne idée également, ce fil rouge du grand-père et de sa petite-fille, le passé et le présent.

     A l’unanimité, nous vous remercions pour ce très bon travail, très bon film, très instructif, qui nous permit de découvrir un compatriote, inventeur quasi méconnu ou oublié !

Collectif de 17 amis., de , Paris, Bergerac, Agen, Périgueux.    Dimanche 21 juin 2020.

 

Jean Hernandez (69)

A moi aussi, la pandémie m'a donné du temps... / ...  Bravo pour votre travail sur le site, il répond exactement aux questions que je me posais sur Ducos du Hauron. En suivant, j'ai revu votre film et je trouve l'ensemble très cohérent.

J'ai vraiment apprécié le coté pédagogique de la conférence et la progression dans l'approche de votre sujet. C'est passionnant.

En plus, vous racontez une histoire qui nous concerne tous : la transmission des savoirs, des témoignages, des objets, de générations en générations. La petite-fille est spontanée et magnifique. Superbe idée. Et Ducos est très émouvant dans ses interventions, surtout la dernière. C'est vrai, il doit tout à son frère...

 

Joël Chambert (reçu le 19-07)

Monsieur Dreuil, je suis un des frères de Michel qui tient le rôle du grand-père dans votre film. Je viens de le regarder durant l’heure et demie nécessaire à une bonne compréhension de l’œuvre de sa vie, de ses recherches et finalement de cette invention, création dont j’avoue n’avoir jamais entendu parler, si ce n’est le nom de ce personnage, lié au collège du même nom à Agen. Cette heure et demie passe plus vite que prévue, et l’on est un peu surpris par le mot fin, car petit à petit on rentre dans cette histoire, et j’avoue même avoir été durant quelques instants étonné, que mon frère ne m’ait jamais parlé de ses recherches sur cet inventeur…un instant seulement, mais cela prouve la crédibilité de l’histoire. Conclusion, très bon film qui nous fait aimer le personnage, découvrir son travail, ses résultats. Bonne interprétation pour des comédiens amateurs, d’où émergent celui qui tient le rôle du président de l’association Agenor, je crois, la jeune Elsa, gracieuse et lumineuse, et bien sûr vous-même, le sosie parfait de Louis Ducos du Hauron, quelle belle idée de rentrer dans la peau du personnage ! La musique est sublime ! Et depuis, Internet me dévoile toute la vie de notre célèbre Agenais. Une nouvelle fois merci et félicitation pour ce film.             Joël Chambert

 

 

Les premiers témoignages : février-mars 2020

     Cela fait un mois que notre film est disponible et déjà, sans autre moyen publicitaire que notre site, nous avons reçu des commandes... puis à la suite, une quinzaine de témoignages, d'appréciations et d'encouragements. Nous vous en livrons quelques-uns, parmi les plus significatifs... et même celui d'une connaissance, pas très sympa. Mais, que voulez-vous : tous les goûts sont dans la nature (et tous les caractères aussi).

     Dans cette page, nous vous tiendrons au courant de l'actualité du film. Sachez que, pour l'instant, tout est retardé. Nous ne savons pas ce que décideront les salles du 47... mais à présent, l'alerte sanitaire nous contraint à annuler les séances prévues dans les établissements scolaires et à tout retarder. Donc, nous verrons à la rentrée de septembre... en espérant que la pandémie sera maîtrisée.

Patrick Perez (Toulouse)

J'avais vu, sur le site de PVC47, que tu avais délaissé la montagne pour te consacrer à un inventeur agenais totalement inconnu pour moi. Pourtant, à Toulouse, je ne manque pas une exposition photo ni une conférence sur le sujet. Ce que j'ai découvert sur Ducos du Hauron est fabuleux, je te l'ai déjà dit. Ton film est vraiment original de par sa construction. Il m'a permis de me reconnecter avec des coins d'Agen que j'avais fréquentés et que j'ai reconnus.

Seulement, comme ça fait quelques années qu'on s'est pas vus, je trouve que tu as pris un sacré coup de vieux. C'est peut-être la barbe qui fait ça ? En tous cas ta prestation est excellente et très émouvante.

Bon succès à ton travail. Amitiés. Patrick

Isabelle Pasquier (Nantes)

Je viens de revoir votre film avec beaucoup d'attention et je tenais à vous féliciter pour le travail accompli.

En tant que professeur de piano, j'aurais aimé en apprendre plus sur Ducos du Hauron pianiste, mais ce n'est pas le sujet du film. Quelle belle idée de reprendre en guise de ponctuation la mélodie du Cygne de St-Saëns. Quelle grâce, quelle beauté, quelle élévation. Elle introduit la sérénité propre à votre film teintée de ce qu'il faut de nostalgie.

Et si j'ai bien compris, c'est vous qui jouez Ducos. Ce qu'il nous dit dans la dernière séquence m'a particulièrement touchée. J'avais la larme à l’œil.

Bravo M. Dreuil pour cette belle réussite.

Marcel Griveaux (Paris)

Bonjour. J'avais suivi, sur votre site, et avec beaucoup de curiosité, l'évolution de votre projet. Le résultat est tout à fait conforme à votre intention de départ. Quant à la réalisation, quant au jeu des acteurs... pour des amateurs, c'est assez surprenant.

En tant que professionnel, j'ai vu et revu votre film, non seulement pour bien saisir tout ce qu'il nous enseigne, mais aussi pour l'analyser. Cette juxtaposition des styles est audacieuse et très réussie. Ces changements de tableaux, ces angles d'attaque multiples relancent l'intérêt et aident à faire passer des contenus parfois chargés et pas toujours très spontanés ni réalistes. Mais c'est votre choix et l'ensemble offre une belle unité. J'ai vraiment apprécié l'économie de moyens qui consiste à replacer votre personnage dans un décor ancien de carte postale et à le faire sortir du cadre pour s'exprimer. Génial ! Votre prestation dans ce rôle est riche de nuances. L'échange avec Ducos du Hauron est intimiste, poétique, et on y croit.

Je vais inviter des amis connaisseurs à visionner votre film et voir s'il est possible d'organiser une rencontre dans un cinéma où nous avons quelques attaches...

 

 

Deux témoignages, un positif sur le site, un négatif sur le film viennent d'être supprimés à la demande de leurs auteurs. On a le droit de changer d'avis... même si l'on n'en connait pas les (vraies) raisons.

 

Raymond Deflaujac (91)

Je suis très ému car votre histoire est pratiquement la mienne. J'avais été initié tout jeune à la photo dans le club de mon lycée et j'avais moi aussi un oncle qui avait pratiqué la photo avec des chambres à soufflet. J'ai fais des études d'architecte, j'ai toujours pratiqué la photo, mais jamais j'ai eu l'idée ou la curiosité d'ouvrir les nombreux albums ou les boites de plaques de verre du vieil oncle. Je l'ai fait à plus de 70 ans. De magnifiques portraits qui représentent je ne sais qui, des paysages inconnus, et notre petit village de Castelnaud lui toujours reconnaissable.

Je connaissais mes classiques sur l'histoire de la photographie, j'ai parcouru votre site, mais l'idée de faire un film à la fois historique, sentimental, nostalgique, sur l'évolution des techniques et d'y replacer votre personnage : est tout à fait remarquable. Votre duo grand-père et petite-fille est magnifique. Comme M. Petitjean, j'ai éprouvé beaucoup d'émotion à visionner votre film. Merci.

 

Damien Gilot (31)

Je fais des études de cinéma et à ce titre j'ai effectué des recherches sur les pionniers de l'image animée mais de Ducos du Hauron, je ne connaissait que le nom. Je l'ai découvert sur votre site et je vous en remercie car la vision qu'il a eu du cinéma 30 ans avant tout le monde est exceptionnelle. J'ai trouvé amusant l'hommage qu'il rend au cinématographe Lumière. Mais quel est ce projecteur ? Est-il de son époque ? La petite Elsa apporte sa jeunesse et sa fraîcheur. Votre film en avait bien besoin. Elle est magnifique. Pourrais-je avoir son 06 ? Je plaisante...

 

Quelques inquiétudes sur l'hommage des Agenais...

 

Pandémie et confinement

 

     Rien d'officiel... mais des bruits. 

     Même si ce genre de manifestation (prévue le 12 septembre) devrait être autorisé, il est en effet aventureux de prévoir... et de compter sur la venue d'intervenants de la capitale ou d'ailleurs.

     Malgré tout, nous tâcherons de proposer notre film à partir de la mi-septembre. 

 

     Sacré coronavirus !  Voyez la tête de DUCOS. Cette caricature (de 1895) illustre notre dernier bulletin.

     Celui-ci nous a valu quelques commandes et de nouveaux témoignages. Nous les publions ci-dessous.

 

    Ce que nous redoutions vient d'être annoncé par la presse (7 mai 2020) : les manifestations prévues à la rentrée de septembre seront repoussées d'une année. DUCOS fait donc partie des nombreuses victimes du coronavirus.

Georges Delcourt, Auch

… je vous remercie pour vos informations. J'ai effectivement consulté les pdf de votre site ; quel travail. Que de renseignements et de témoignages incontestables sur la vie et les recherches de Louis Ducos. Mais je pense qu'il n'y a que les spécialistes qui apprécieront les analyses techniques dont vous donnez les détails.

J'en profite aussi pour vous dire tout le bonheur que j'ai eu à visionner votre film. C'est lui qui m'a incité à revenir vers le site, qui à son tour m'a invité à revoir le film. Ce va-et-vient est tout à fait utile pour apprécier la richesse et la cohérence de ce que vous avez produit.

Je suppose que les les Agenais sont fiers de leur personnage. Je ne manquerai pas de faire le déplacement pour assister à l'hommage que vous lui rendrez. Merci de me tenir au courant.

 

Héléna Martin (47)

Bonjour. J'avais postulé pour le rôle de la petite-fille mais la place était déjà prise. Aucun regret, ça aurait été compliqué avec mes études. Elsa est vraiment comédienne et elle est magnifique, mais moi je m'intéressais pour de bon à la photo. C'est ma dernière année à Toulouse mais tout est à l'arrêt et je ne sais pas si elle va être validée. Mon père, qui avait participé au tournage m'avait procuré votre DVD. Cool, mais je regrette que vous n'ayez pas pu organiser l'avant-première qui avait été promise. J'ai parlé de Ducos du Hauron à ma classe et on a travaillé sur votre site. Vivement que vous présentiez votre film à Agen. Je trouve très émouvant les séquences où vous tenez le rôle de Ducos...

 

Claude Dubroca, Bordeaux

Suite à votre conférence de février, j'ai vu votre film et j'ai consulté votre site et je peux vous dire, M. Dreuil, que votre travail sur Ducos est remarquable. J'ai lu les quelques avis que vous avez publié et notamment celui de l'historien Petitjean et je ne peux que m'associer à ces éloges. Quant à votre « ami du 47 » je pense qu'il n'exprime que jalousie et bêtise. Je connais ça et c'est inévitable. Cela prouve que votre travail ne laisse personne indifférent. 

Je travaille à organiser une rencontre sur Ducos à Bordeaux et j'espère que la Région Nouvelle Aquitaine se saisira de l'affaire. Merci pour cette caricature de Ducos en plein confinement...

 

Fabien Escalona, Toulouse (le 13 mai 2020)

... à propos de votre film, merci d'avoir répondu à mes questionnements. Effectivement, si les propos de Louis Ducos du Hauron sont le fruit de l'imagination du grand-père photographe qui étudie son oeuvre, ce qui est dit est donc de la responsabilité de ce dernier. C'est très astucieux. Autre question. Est-ce que l'éclairage en RVB de la chanteuse de la Fête de la Musique est voulu ? ça m'étonnerais...

Vous me dites que vous cherchez à écourter le film. Pour moi, les éléments de polémique locale que l'on vous reproche ne me gênent absolument pas. Les difficultés rencontrées font partie de la vie. Quant aux interludes entre chaque séquence ils sont nécessaires pour contrebalancer la densité de ces séquences et pour les introduire. Ne changez rien !

 

Réponse au correspondant précédent.

Bien vu pour l'éclairage de la chanteuse. Mais oui ! si j'ai choisi ce dernier plan, c'est que je me suis rendu compte qu'elle était alternativement éclairée en RVB (et j'avais même du CMJ). Plus anecdotiquement cette chanteuse est une de nos connaissances. Elle s'appelle Sandrine Thuillier et elle a un passé de sportive puisqu'en 2010 elle a accompagné le "grand-père" Michel Chambert dans une traversée des Pyrénées qui a donné lieu à une série de 3 films long-métrages. Que le monde est petit ! Ce qui explique les allusions de Michel à la montagne, les affiches placardées... etc.